Place Ataba. La convivialité. Circa 1899.

Place Ataba. La convivialité. Circa 1899. Détail.

Place Ataba. La convivialité. Circa 1899. Détail.

Le Crédit Lyonnais du Caire, place d'Ataba el Khadra,en 1901

L'un des salons exposés dans les établissemn,ts Parvis, d'Ataba, en 1901.

L'un des salons exposés dans les établissemn,ts Parvis, d'Ataba, en 1901.

Le légendaire Monsieur Giuseppe Parvis, l'une des figures les plus populaire du Caire en 1900, photographié ici en 1901, âgé de 69 ans. Né à Breme, petite localité près de Turin en 1832. Il fut dans sa jeunesse, l'un des plusbrillants élèves de l'Académie Royale Albertine de Turin. Il en sorti avec plusieurs dimplome, et le désir de faire un petit tour du monde, afin d'acquérir la science de l'expérience. La Patrie des Pharaons, l'avait toujours attiré. Il arriva au Caire en 1859 et commença à prendre des croquis et à dessiner toutes sortes de détails de l'architecture arabe qui le séduisait tant. Il achetait chez les brocanteurs du Caire, des panneaux de moucharabeyahs qu'il taollait et transformait en meubles d'un style qu'il inventa, l'arabesque qui bientôt eut un tel succès que tous les voyageurs qui visitaient l'Egypte souhaitaient acquérir. Il avait renoncer à retourner en Italie et s'installa dans la capitale égyptienne, à l'endroit où ses trouvait l'ancienne administration du transit "Le Mourour" et ne tarda pas à être célèvre dans le monde entiers. Les meubles de Parvis, se retrouvent aujourd'hui dans tous les Palais Royaux du Monde qu'ils soient d'Europe ou d'Asie. Tout le monde voulait avoir son salon de ce style nouveau, le véritable style Parvis. Il devint fournisseur attitré du Khédivze Ismail et de ses successeur. En 1867 le souverain lui demanda de réaliser des objet inégalés de style arabe pour pôuvoir être montrés à l'Exposition Universelle de Paria. Parvis lui demanda l'autorisation d'entrer dans toutes les mosquées et les principaux palais du Caire , pour pouvoir s'en inspirer . Le Khédive lui donna un firman, qui lui ouvrit toutes les portes du Caire.Parvis prit tant de croquis que ses carnets devinrent une sorte de bible de tout ce qui concernait l'ornementation orientale et ses créations dépassèrent tout ce que l'on pouvait souhaiter. L'Exposition de 1867 à Paris fut un grand succès et fut suivi de celle de Milan de 1881, par celle de Turin de 1884.. Des ateliers de Parvis sont sortis une grande partie des meubles qui ornent le Palais d'Abdine et de la plupart des autres Palais du Khédive.

L'un des salons exposés dans les établissements Parvis, d'Ataba, en 1901.

Encart publicitaire de la Maison Parvis, dans l'ancien Mourour (administration du Transit) d'Ataba en 1901.

Un salon type créé par Parvis. Toutes les personnalités qui visitaient l'Egypte à l'époque en général, acquérait un salon arabe Parvis. C'est pourquoi dnas tous les chateaux d'Europe, on retrouve un salon arabe de Parvis et au dans toute la capitale, se trouvait dans toutes les maisons, un salon arabe. Clichée 1904.

Tableau du tarif pour le transport de la correspondance privée de la poste européenne en 1860.

W .H. Halton Pacha, troisième directeur général des postes khédiviales égyptiennes du 25 décembre 1879 au 2 janvier 1887

Sir Youssef Saba Pacha quatrième directeur des postes égyptiennes du 3 janvier 1887 au 15 septembre 1907

Alfred Caillard Pacha, second directeur général des postes khédiviales égyptiennes du 18 août 1876 au 25 décembre 1879. Il fut nommé par la suite directeur général des douanes égyptiennes. Le grade de Pacha lui fut attribué le 9 février 1899

Guiseppe Muzzi Bey, créateur de la poste en Égypte et son directeur général du 1 janvier 1865 jusqu'au 18 août 1876.

Marchand de volailles sur la place Ataba avec au second plan le Palais des tribunaux mixtes. C 1901.

Représentation dans le nouveau cirque du Caire en 1869 en l'honneur du Prince Albert Edouard de Galles et de la princesse de Galles, née Alexandra de Danemark: le loge grillagée protégant les princesses et les dames de la Cour Khédiviale.

Courtoisie de Madame Caroline Gaultier Kurahn

La statue d'Ibrahim Pacha sur la place Ataba el  Khadra, érigé sur un socle en bois, peint en trompe-l-'oeil  peu avant sa destruction en 1882. Les morceaux de la statue furent recueillis dans un entrepot à Boulac et restaurés en 1887, date à laquel le monument fut  érigé sur un socle de pierre, Place de l'Opéra.

Suite "Place de l'Opéra".

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